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La part du secteur informel au PIB est passée de 52 à 60% entre 1990 et 1994

La participation des opérateurs du secteur non structuré à la formation du PIB a connu des ''performances inouïes'', passant de 52 pour cent à la fin des années 1990 à plus de 60 pour cent en 1994, a-t-on appris de bonne source.

Cette participation est boostée par la libéralisation des principales filières du commerce au Sénégal comme le riz, le lait, le beurre, etc., selon les termes de référence du séminaire d'étude et de validation du plan stratégique de développement de l'UNACOIS-Jappoo.

Ce plan stratégique est soutenu par le Programme de promotion des initiatives privées (PPIP) dont les travaux ont été ouverts le même jour par président de la Chambre de commerce de Dakar.

Source : APS