Après plusieurs années de mobilisation des Etats, du secteur privé et
de la société civile autour des problématiques et enjeux soulevés par
la construction de la Société de l'information, quel bilan peut on
tirer ?
Tout d'abord, il faut se réjouir que pour la première fois dans
l'histoire des sommets mondiaux organisés par le système des Nations
unies, le secteur privé et surtout la société civile aient été associés
à l'ensemble du processus même si on peut regretter que toutes les
dispositions n'aient pas été prises et tous les moyens mis en œuvre
pour assurer une meilleure participation, tant sur le plan quantitatif
que qualitatif, de ces deux secteurs fondamentaux de la société.
En second lieu, la tenue de ce sommet a permis d'attirer l'attention
d'une multitude d'acteurs, et ce dans tous les pays du monde, sur
l'importance des questions liées au développement de la Société de
l'information sur le plan politique, économique, culturel et social.
Source : Batick